Histoire de ...

La nuit commençait à tomber, et Myrdhyn s’éveille. Les voeux de bon repos que Tadgar lui a fait on été éfficace. Un petit tour aux cuisines, le temps d’avaler une tourte au paté, et le voilà prêt pour une ronde nocturne. Il a enfilé son haubert, passé par dessus son tabart avec ses couleurs, mis son camail, et pris son épée courte.
« Commençons donc par les caves du donjon, et voyons s’il ne s’y cache point de malice ».
La descente des escaliers s’avéra difficile, les marches de pierres était humides et glissantes. La torche, allumée au feu de la cuisine éclaire faiblement le chemin. Le chevalier arrive maintenant devant le couloir qui mène au cellier. sur la droite, s’enfonce le souterrain de défense. C’est de là que provient comme un air de musique.
en approchant Myrhdyn arrive à mieux percevoir le bruit, une musique entrainante et des paroles obsédantes.
« Dilun, Dimeuzrh, Dimerc’her
Diriaou, Digwener, Disadorn ,
la la la
Dilun, Dimeurh, Dimerc’her,
….. »

« la male peste, pensa Myrdhyn, la danse maudite des Korrigans, ils cherchent une proie ».

Dans l’histoire que lui contait, à la veillée, dame Gwinrael la nourrice du château de son père, le Korrigans petits démons malfaisant, chantent la nuit : « lundi, mardi, mercredi, jeudi vendredi, samedi », et le passant se sent irrémédiablement attiré, a tel point que très vite, il sa lance dans la ronde, il ne peut s’empêcher d’ajouter le dernier vers « HAG DISUL » (et Dimanche !), et le voilà à danser jusqu’à l’aube. Et quand il s’éveillera, cent ans auront passé sur la terre, et il sera devenu vieillard chenu. Le piège est terrible, par qui ces ennemis peuvent ils être envoyés ?
Faisant un pas de plus, Myrhdyn tire son épée, mais le bruit de la lame sur le fourreau est suffisant pour alerter les Korrigans qui s’enfuient.

« il me faut de l’aide, allons voir si ce chevalier silencieux (azmadan je crois) que j’ai croisé tôt ce matin, pourrait m’assister »

Pennlossion était une fontaine vivante, tellement il transpirait malgré le froid qui régnait dans les couloirs du chateau. Des heures d'entraînements physiques précédés par ceux de magie étaient la raison de cet état, aisément explicable vu l'épuisement qui résultait déjà du premier entraînement...

Il n'aspirait plus maintenant qu'à retrouver la quiétude de sa chambre, et ne s'attendait point à y trouver Tadgar, les yeux fermés, sans doute en train de sonder le château pour y chercher une présence. A peine il eut entré que celui-ci rouvrit les yeux et sourit...

Shan'do!? Que puis-je pour vous aider?

La clé de la bibliothèque je te prierai mon cher Pennlossion! J'ai besoin de consulter les textes anciens...

Il m'étonne encore que vous en ayez besoin! Mais si tel est votre besoin...

Pennlossion dessina un cercle de lumière dans l'espace qui, confondue aux paroles d'incantation, laissa bientôt place à un tourbillon de lumière bleu de la diamètre d'un bras. Il n'hésita pas une seconde à enfoncer le sien dedans et le ressortit en tenant une étrange pièce métallique entre les doigts de sa main. Le portail se referma aussitôt...

Là où je l'avais laissé !

Venez Shan'do! Je vais vous acompagner. Il m'est aussi quelques ouvrages que j'aimerai consulter et ressortir pour apprendre à nos écuyers quelques tours de magie...

Et ainsi, les deux grandes figures du Shorel'aran Kaldorei se dirigèrent ensemble vers le rendez-vous avec le savoir des anciens!

Ces murmures continuaient sans cesse... Azmadan était couché sur son lit, mais comment pouvait-il percevoir aussi fort ces murmures ?
Ils venaient de la direction du lieu où la plupart des chambres d'hommes habitées se trouvent, et pourtant, il les entendait...et pas qu'un peu !

Il en suffisait ! Cela ne pouvait continuer ! Le Shoren se leva, avec la ferme intention d'élucider ce mystère ! Il prit la direction des chambres de ses compagnons...

Ce matin-là, Azmadan s'était levé tôt, de par ces murmures, et avait fait la rencontre de Myrhdyn... Il se remémora bien la scène de rencontre quand il revit celui-ci devant la porte du local d'où semblaient venir ces étranges murmures...
A vrai dire, il avait certainement dû paraître impoli pour le guerrier expérimenté que semblait être Myrhdyn, car celui-ci avait semblé s'attendre à un "Bienvenue" ou autre message manifestant une quelconque joie de voir un nouvel arrivant...mais il ne dit rien...
Il fit seulement un signe affirmatif de la tête lorsque celui-ci lui demanda s'il était Azmadan (au moins l'un des habitants du château avait dû prévenir le breton du mutisme du jeune homme)...

Myrhdyn pensa de suite à demander l'aide du garçon, et l'aborda très vite...

Ah, Azmadan ! Vous arrivez bien, j'ai besoin d'aide ! Des murmures que j'ai entendus semblent venir de cette chambre ! Il me semble évident que ce sont des korrigans qui se logent là-bas ! Massacrons-les !

Azmadan s'approcha de la porte... Oui, c'était certain ! C'était de ce local que provenaient les murmures !

Myrhdyn reprit...

Alors, vous les entendez ? Vous entendez les korrigans ?

Korrigans ? Qu'est-ce qu'il voulait dire par là ? Azmadan supposa qu'il voulait signifier par ce therme les murmures, aussi cela faisait longtemps qu'il ne parlait plus, il n'allait pas reprendre la parole pour connaître la signification exacte de ce mot...
Il hocha donc la tête affirmativement...

Lorqu'il s'attarda sur les mots, il les reconnut ! Oui, c'était certain : ces paroles étaient celles d'une de ces chansons de bandits, dédiée au dieu maléfique : Skorm ! Mais qu'est-ce que des bandits fouttaient dans ce château, dans cette chambre ?
Il identifia chaque mot...

Malor serputur Kalamis
Lamassar junura polki samassa
Kruntu mer'alam gruns
Par'assut krammanutaru zrames

Ces quatre lignes rédigées dans une langue maudite formaient le premier paragraphe d'une chanson racontant les exploit de Kalamis, l'un de ces héros du mal, l'une de ces personnes qu'on appelle "Fils de Skorm"...

Azmadan prit la poignet pour ouvrir la porte, mais le local semblait verrouillé...

Myrhdyn reparla de nouveau...

J'ai déjà essayé, nous devons trouver un autre moyen !

Mais Azmadan n'entendit pas les paroles de Myrhdyn, il était pétrifié par les mots qui assayaient son esprit...

Alors, fiston, on n'arrive pas à ouvrir la porte ? Mais va-s-y, essaye de la défoncer, petit crétin...

Et son père se mit à exclamer sa joie d'un rire satanique...

Azmadan s'agenouilla au sol, ses mains contre ses oreilles, comme pour empêcher ces paroles infâmes de l'atteindre...
Non, cela ne se pouvait ! Il était mort ! Une colère soudaine monta en Azmadan, et il se releva et se prépara à défoncer la porte...mais déjà les yeux de Myrhdyn prenaient une couleur étrange...

Les évènements ne se déroulent pas vraiment comme Myrhdyn l’a imaginé. Son plan était simple, Azmadan se faisait entraîner par la chanson, mais avant qu’il n’entre dans la danse, Myrhdyn capturait un Korrigan, et taillait en morceaux les autres.
(Pour capturer un Korrigan, c’est chose facile, il suffit de lui prendre son chapeau, il se met alors a tourner sur lui même en se tenant les oreilles qu’il a fort longues, si bien qu’au bout de quelques instant il est étourdi et tombe inanimé, il suffit alors de le ramasser et de l’enfermer dans un pochon en cuir).
Mais Azmadan n’avait pas l’air d’être séduit par le chant, voilà qu’il s’agenouillait, qu’il s’agitait, il semblait extrêmement nerveux.
« c’est pas normal, pense Myrhdyn, d’abord des Korrigans qui normalement vivent dans les landes, là ou sont les pierres levées par les grands anciens, ensuite un chevalier qui n’a pas l’air de trouver leur chant à son gré, c’est une affaire de gwarc’h1. En plus avec un compère qui a fait vœu de silence, l’affaire n’est pas simple, N'eus ket tu da dennañ amann eus gouzoug ur c'hi2 »
Il s’adresse alors a Azmadan
« ho compagnon, cet huis est clos, nous ne pourrons rien faire sans la clef, allons donc la quérir auprès de messire Tadgar »
Tout en parlant il donne une bonne collée dans le dos du chevalier qui avait l’air de plus en plus hagard. Azmadan est en train de se relever, déséquilibré par un Myrdhyn qui n’est pas toujours très doux, il se retrouve projeté contre la porte et aussitôt assommé.
« Pa vez c'hoant ober berzhGwelloc'h ijin eget nerzh3, maintenant il lui faut des soins, et je me demande bien comment je vais pouvoir m’excuser. Je verrais cela plus tard, pour le moment allons réveiller ce compagnon »


NDR HRP : vous remarquerez que Myrhdyn lorsqu’il est perturbé s’exprime dans sa langue régionale, pour ceux qui ne maîtriserait pas le breton voici les traductions :
1 Sorcière
2 Il n'y a pas moyen de tirer du beurre du cou d'un chien. A l'impossible nul n'est tenu.
3 Quand on a envie d'avoir du succès il vaut mieux invention que force

Lioneldenis lui ayant dit où elle pourrait trouver les sires Tadgar et Pennlossion, Aebori se dirigea vers la bibliothèque. Tout le long du chemin, l'elfe se demanda pourquoi il y avait tant de choses bizarres dans le chateau. C'est vrai quoi, pourquoi un bruit bizarre se ferait entendre en pleine nuit alors que ce sont uniquement les membres de la guilde qui y habitent ? Décidément, cela était bien étrange...

Quand elle eut tourné le coin du couloir, elle fut bousculée par quelqu'un... ou quelque chose...

"Hey, vous pourriez au moins vous escuser !" dit-elle sur un ton menaçant.

Quand elle se fut relevée, elle essaya de dépoussierer sa robe. Elle avança d'un pas lorsqu'elle tomba nez à nez avec 4 chevaliers. Il y avait là Tadgar, Pennlossion, Myrhdyn et Azmadan. Se demandant pourquoi ces messieurs avaient l'arme au poing, elle leur adressa un sourire plein d'ironie.

"Pourquoi vous, des membres des Shorel'aran Kaldorei, auraient-ils l'arme à la main ? Nous ne sommes pas en guerre à ce que je sache, et encore moins dans ce château."

Aebori prononça alors des mots bizarres pour elle-même, comme si elle disait une formule maléfique...

Myrhdyn courait, l'ombre fugitive se déplaçait vite, et la rage montait dans l'esprit du chevalier.

"On verra bien si tu iras aussi vite lorsque je t'aurais rattrapé et que ta tête aura volé de sur tes épaules", il était bien là dans la tradition des chevaliers armoricains, grands collectionneurs de la tête de leurs ennemis.

Complètement pris par sa fureur, il ne voit pas dame Aebori, et il la bouscule légèrement dans sa poursuite. En fin légèrement quand il s'agit d'un gaillard de 6 pieds 6 pouces pesant ses 200 livres sans l'armement, rencontrant une elfe, cela fait quelques effets. Notamment l'incantation d'Aebori s'en trouva interrompue.

Et cela n'avait pas interrompu la course de Myrdhyn qui avait maintenant distancé le reste de la troupe, la poursuite le conduisait droit vers la grande salle du donjon. Arrivé la plus de trace, rien, l'ombre avait disparu.

Il était encore en train d'essayer de trouver un indice lorsque les autres membres de la compagnie arrivèrent dans la grande salle. Dame Aebori avait l'air courroucée
"Espèce de brute, ne pouvait tu pas faire attention, j'allais lancer un sort pour arreter cette chose, et à cause de toi elle a pu fuir"
"Gwelloc'h un oberer Eget kant lavarer.1 toutes ces sorcelleries ne me disent rien qui vaille"
Myrhdyn n'avait visiblement pas retrouvé son calme et Tadgar se doit d'intervenir
"Paix tous les deux, cela n'est pas le moment pour nous disputer, Myrhdyn excuse toi auprès d'Aebori, et toi Aebori reconnait que Myrdhyn ne t'as point bousculé volontairement"
Devant cette admonestation, Myrdhyne est penaud, Aebori lègérement rougissante et les deux chevaliers échangent une accolade en signe de paix retrouvée.
"Bien, pour cette nuit il ne nous reste qu'a aller mettre de l'ordre dans la bibliothèque, ensuite il nous faudra prendre un peu de repos, la journée de demain risque d'être rude"
Sur ces fortes paroles les cinq chevaliers prennent le chemin de la bibliothèque.


1 Mieux vaut quelqu'un qui agit que cent qui parlent.

...Au bout du couloir, Pennlossion tourna. Il attendit quelques secondes au début de la nouvelle rangée, lorsque les bruits se firent plus incessants...

Il resentit ensuite des forces maléfiques apparaître derrière lui. Un pouvoir inconnu et assez soudain, surtout dans ce lieu! Dans un geste rapide, il se retourna et lança une vapeur givrante en la direction voulue... et put enfin voir qui était à la source de son malaise...

Leurs silhouettes étaient assez floues, mais laissaient imaginer qu'il s'agissait de deux hommes, ou de créatures à allure humaine, mesurant quelques pieds de plus que le chevalier. Des ombres pareilles à un feu noir incandescant dansaient sur leur corps qui ne semblait guère avoir de consistance physique. Son sort qui aurait dû immobiliser de froid le plus massif des ours polaires, passait litéralamant à travers l'ombre comme s'il avait s'agit d'un nuage noir. Pennlossion surpris, le premier des deux intrus fit prolonger son bras et l'abattit sur le pauvre champion...

L'attaque fut rapide, mais pas assez pour l'homme expérimenté, qui déjà avait sorti Isenduil et avait convoqué en un mot un sort pour enduire celle-ci d'une flamme immortelle. Le bras ou l'arme (difficile à dire) qui s'abattit alors sur l'épée en feu fut découpé. Un pas en avant et un geste d'estoc au niveau de l'abdomen le débarrassa de son ennemi. En effet, l'arme qui l'avait tranché de part en part avait laissée sa trace flamme rouge qui dansait maintenant avec les flammes noires et semblait gagner du terrain sur celles-ci. Mais la bataille n'était pas encore finie, et l'intru malgré le mal qui le gagnait tenta d'asséner un coup au chevalier. Tout en esquivant, Pennlossion réfléchit à un moyen de terrasser son ennemi. Les armes physiques l'affaiblissait mais pas suffisamment, et bien que le feu semblant être la solution, il ne pouvait encourir le risque de détruire un patrimoine du monde.

Finalement, la réponse était simple. Comme il l'avait fait pour le bûche d'Aebo, il allait accroître la nature des flammes afin qu'elle le consumme entièrement. Cependant, un problême subsistait et un premier essai confirma ses craintes. Un sort de nature si mineure est innéfficace face à une créature magique, et son entreprise ne pouvait réussir qu'en alliant celui-là à un second sort bien plus puissant et difficile à manier, l'entrave magique. Si lancer ce sort seul était déjà un exploit, lancer deux sorts en même temps était encore plu difficile, et au lieu d'annéantir son ennemi, il se pouvait que le combat se termine à une implosion du magicien suite à une trop importante accumulation d'énergie magique. Il n'avait néanmoins pas le choix! Il divisa son esprit et se concentra sur le feu qui rongeait l'ombre ainsi que sur l'individu en entier. Durant ce qui lui semblait être une éternité de supplices, Pennlossion intensifia la nature destructrice de sa flamme tout en paralysant les pouvoirs magiques que possédait son ennemi, et finalement, dans un cri d'agonie humaine, celui-ci s'écrasa au sol une fois que le rouge eut triompher du noir...

Le brasier s'arrêta aussitôt que le manipulateur de sort relâcha son attention. Il avait utiliser trop d'energie et il tomba contre une étagère qui jetta quelques bouquins au sol en signe de manifestation. Pourtant, lui ne pouvait s'en arrêter là! Il se souvenait avoir vu deux êtres passer le vortex magique, et n'en avait combattu qu'un seul. Il s'appuya sur Isenduil pour se relever et remarqua que l'étagère en face de lui se rapprochait. Il se jeta sur le côté, puis se releva avant que la deuxième étagère ne s'effondre à son tour. Il courut à toute vitesse vers l'entré de la bibliothèque. Dans son état, il ne pouvaitt guère encore jouer au héros...

Arrivé au bout de sa course, il tombe nez-à-nez sur Tadgar, Myrhdyn et Azmadan. Peu attentif à ses compagnons, il remarqua que son traqueur avait fini la poursuite. Et il recupéra une part des forces qu'il avait fort imbécilement gâchée...

"Alors Penn, que se passe t il donc? As tu découvert quelque chose à propos de ces chants? Et pourquoi la bibliothèque se trouve dans cet état? "
"Deux ombres..."répondit-il..."Il me faudra encore chercher pour ton mystère de chant Shan'do" ajouta-t-il le sourire aux lèvres...

Ces quelques mots à peine lâchés, que l'on avait déjà retrouvé l'intrus et entammé une nouvelle course dans laquelle cette fois, l'ombre était la proie...


[HRP]Je décrirai dans un autre post notre rencontre avec Aebo (pour pas faire trop trop long). Je vais également poster dans un autre topic, quelques règles de RP utiles à lire et à suivre. Il est important dans un RP de savoir prendre le temps et de décrire l'action de SON personnage. D'autrepart, il ne faut pas que votre dernier post empêche le suivants d'écrire, comme l'incite celui de Myrhdyn, dans lequel la journé se termine en laissant l'ennemi fuir. Vous pouvez ajouter vos propres élements, mais casser ceux eds autres n'est pas conseiller...[/HRP]

Respectant le conseil de Tadgar, Myrhdyn avait rejoint sa chambre, allongé sur son lit, il avait du mal a trouver le sommeil. Il réfléchissait à tout ce qui s’était passé depuis son arrivée.
Ce pays le troublait. Guerrier, élevé en guerrier il ne connaissait rien à la magie. Et chez lui, l’église romaine menait la chasse à tout ce qui pouvait y ressembler. D’après les légendes, il existait dans les landes des fontaines ou elfes et humains se retrouvaient, mais depuis l’arrivée des prêtres, ces pratiques s’était perdues. Les fontaines aux fées s’appelaient maintenant fontaines de la vierge, et les rares druides et bardes survivant qui s’y rendaient en espérant rencontrer les elfes devaient se cacher. Gare à eux s’ils se faisaient prendre, c’est au bûcher, comme sorciers, qu’il finissaient alors.
Ici, il avait rencontré des elfes, peut être des descendants de ceux qui avait fui son pays il y a des siècles, il avait été bien accueilli et il appréciait leur droiture et leur courage.
Quand aux évènements, …. c’était incohérent, il entendait des Korigans, les elfes noirs de la légende, mais il avait l’air d’être le seul, des ombres apparaissaient et disparaissaient.
L’origine de ces phénomènes ne pouvaient être dans ce castel. Il y avait aussi ces autres phénomènes que l’on pouvait apercevoir au lointain, dans la forêt. Il prit ainsi une décision, il fallait que quelqu’un aille voir, et ce quelqu’un ce serait lui. Et sur cette dernière réflexion, il s’endort.
……
Le soleil d’hiver jette ses premiers rayons dans la chambre de Myrhdyn, et celui ci secoue son valet
« EREC, lève toi, il est temps pour nous de nous activer, nous avons une mission à remplir, va aux cuisines, prend des vivres pour plusieurs jours, puis courre aux écuries préparer les chevaux, nous avons à faire dans ce pays ».

Le jouvenceau, se lève en grognant mais il savait qu’il ne devait pas discuter les ordres du chevalier. Et après tout, c’est lui qui avait choisi de l’accompagner dans sa quête, s’il voulait devenir écuyer au printemps, comme cela était prévu, il devait faire ses preuves.

Myrhdyn aimait bien son apprenti, le duc lui avait confié la rude tache d’en faire un des meilleurs chevalier de Bretagne. Lorsque les beaux jours reviendrait, Erec aurait 15 ans, et l’apprentissage du métier de guerre deviendrait sa tache primordiale, en attendant il devait apprendre l’humilité, une des vertus essentielle pour un bon chevalier.

Ils se retrouvent aux écuries, le destrier est prêt, le cheval de trait porte la tenue de guerre du chevalier, les deux chevaux de voyage sont harnachés.
« Bon travail Erec, allez en selle il est temps de partir . O terc'hel stenn E vez kaset an traoù da benn1“

1 En tenant ferme on mène les choses à bout

Toutes ces heures de recherche avaient enfin peut-être porté leur fruit ! Aebo et Tadgar étaient tombés sur le livre qu'ils cherchaient et révoilerait sans doute la faiblesse de ce mystérieux ennemi. C'est donc sans regret qu'il laissa de côté la lecture du mythe du gobelin noir des Terres vaporeuses, qui selon des témoignages, correspondait à une miniaturisation de ce qu'avait vu le Champion...

Leur Shan'do donna donc les instructions, mais ne révèla rien de sa lecture. Que soit, il allait devoir organiser les défenses du château avec quelques uns de ses frères d'armes. Ils passèrent dans toutes les pièces afin d'actualiser les sorts de protections et en ajouter d'autres. C'est à la fin de leur petit tour d'inspections que le sorcier se rendit compte de la distance le séparant de ses frères sur le terrain de la magie. De ses présents compagnons, seule Aebori avait déjà fait preuve de ses talents de magicienne. Les autres étaient soit inexpirémentés, soit non-pratiquants. Il décida de remédier à celà avant le début de la traque...

Venez avec moi frères ! Je vais vous apprendre quelques tours qui pourraient vous sauver la vie...

Ils se regardèrent interrogés les uns les autres et décidèrent finalement de suivre le second de Tadgar. Une fois descendu les escaliers de marbre et avoir franchi la lourde porte de chêne, la compagnie se retrouva dans les jardins intérieurs du château. En son centre, une statue d'Avo au visage voilé et tendant le bras vers le zénith du soleil, les doigts écarquillés. Pennlossion s'arrêta devant celle-ci et adopta la même posture que la déesse et cria :

"Anar'alah Avo"

Rien d'apparent se produisit et Pennlossion reprit la marche en direction de la tour de garde situé à l'opposé de la cour et en franchit la poterne. Le groupe toujours aussi curieux et de plus plus angoissé devant ces mystères, en fit de même. Pour le chevalier qui n'avait rien crompris à l'évènement antérieur, tout devenait clair une fois entré dans cette tour. Au lieu de retrouver la petite table sur laquelle jouaient et mangaient les gardes en affectation dans cette tour et les étalages d'armes de jets et d'arcs préparés pour la défense, tous virent dans la pièce des étagères remplis de bocaux, de grimoires et fioles. Au centre, une instalattion complexe en verre qui ressemblait aux descriptions du matériel de l'alchimiste. Le plus étonnant, était la métamorphose de la pièce, qui possédait un diamètre double, voir triple à celui que tous lui connaissaient. Pennlossion se retourna sur l'assemblé et dévisagea chacun de ses frères comme s'il les voyait pour la première fois...

Mes frères, mes amis, bienvenue dans la tour des Arcanes !

Quelques chuchotemments suivirent cette annonce, lesquelles finirent aussitôt lorsque le sorcier reprit la parole...

Je sais que vous avez beaucoup de questions sur ce mystère, mais nous n'avons pas le temps pour que je les éclaire tous. Sachez tout de moins que ceci est un cadeau d'Avo afin de nous aider dans la lutte contre le Mal. C'est ici que nous créons potions en tout genre et que nous expérimentons et créons de nouveaux sorts.

De nouveux sorts, comment est-ce possible?

Les limites de la magie ne sont qu'humaine. Il s'agit du pouvoir des Dieux, qui peut être manipulable avec l'entrâinement requis. Un simple jeteur de sorts réemploit ceux que d'autres ont créés avant eux, un mage s'efforce lui à explorer au-delà des limites et cherchent à posséder le pouvoir des Dieux. Grande ambition qui mène souvent à sa perte et je suis fort de mon expérience pour vous dire que les risques sont réels. J'ai plus d'une fois risqué ma vie et m'étonne encore à être inchangé par rapport à l'homme que j'étais avant toutes ces expériences...

Mais cessons ces explications et passons à ce qui nous intéresse ! La traque commencera dans peu de temps et nous devons nous armer contre ces êtres ténébreux. Voici quelques fioles d'eau de vie, qui vous reviguora si vous êtes faibles et un parchemin de bouclier... il vous suffira de lire ce qui est noté pour qu'Avo vous protège momentanément. Maintenant, retenez ces paroles ! "Bash'a no Shorel'aran Kaldorei". Vous ne devriez pas avoir trop de difficultés pour les connaître par coeur! Leure utlisation est dangeureuse, voir mortelle, mais si vous êtez désespéré, même le plus puissant des mages ne pourrait contenir la puissance que vous libériez avec ce sort. Pour le lancer, concentrez votre esprit sur l'ennemi et récitez les paroles! A la fin, perforez-vous de votre lame...

Certains déglutirent en s'imaginant l'évènement. Certains ne comprennaient guère cette leçon qui donnait une vision bien pessimiste de l'art de la magie. Le silence était leur et Penn reprit la parole...

Je sais que les nobles coeurs que vous êtes sauront utiliser à bien cette leçon. Mais j'insiste bien, utilisez ces paroles en dernier recours! L'heure avance et nous devons aller rejoindre notre Shan'do. Allons-y!

Les têtes acquiescèrent et tous refranchirent la poterne pour réattérir dans la cour. Cependant, quelquechose avait changé... Il faisait aussi noir qu'en nuit de nouvelle lune alors qu'il devrait faire plein jour et Avo ne désiganit plus le soleil, mais de sombres nuages aussi noirs que les ténèbres...

Azmadan n'avait jamais pratiqué de magie. Si les batailles étaient des jeux, la magie en était le moyen de tricherie le plus grand...
Un duel au corps était des plus honorable : le plus doué gagnerait, à moins que la dame de la chance ne s'en mêle...
Une flèche pouvait être évitée ou parée par un bouclier, aussi habile que soit son tireur...
La magie elle pouvait donner des exemples bien laids de morts à de très bons guerriers : membres extirpés, brûlés à petits feux ou directement réduit en cendres par un brasier atteignant des milliers de degrés...
Cependant la magie l'aiderait justement contre un autre sorcier, s'il ne voulait pas devenir l'un de ces guerriers honorables mort comme de la merde en un clin d'oeil...
Mais qu'importe ! Aussi Azmadan avait accompagné Tadgar, Furlix et les autres après un repos de quelques heures...

Après ces activités, Azmadan décida de retourner dans sa chambre, s'isolant ainsi une fois de plus du reste du château, du reste du monde...

Entré dans son local, il fut ébahi par une bien étrange vision : une silhouette visiblement féminine regardait par la fenêtre de sa chambre, en face de la porte...

Azmadan, je vous attendais...

La créature se retourna, laissant Azmadan découvrir la plus belle chose qu'il n'avait vue alors : la créature ressemblait plus à une elfe qu'à une humaine, mais n'en était pas vraiment une... Elle possédait une chevelure dorée retombant au bas du dos si pas plus loin encore ; elle était magnifique et sa voix était très douce...
Mais Azmadan ne dit mot...

Voyons, Azmadan, arrêtez ça je vous prie... Un jour ou l'autre vous reprendre bien la parole, alors recommencez dès tout de suite...

...

Laisserez-vous passer cette discussion au silence ? Sans questions, je ne puis rien dire...

Azmadan sembla hésiter et, après quelques secondes, il sépara ses lèvres, mais ne prononça toujours rien...

...Je m'étais promis de ne plus jamais rien dire, mais je me rends compte qu'en certains moments cela est complètement stupide... Qui êtes-vous ? Votre beauté rappellerait Mère Avo elle-même...

Sa voix était assez peu grave, en contradiction avec sa vile cicatrice... Elle sourit à sa remarque...

Je vous remercie, Azmadan, mais non je ne suis pas Mère Avo, juste...une de ses servantes... Je suis...une messagère.

Quel est votre nom ?

Mon nom n'a pas d'importance...

Quelques instants de silence suivirent cette phrase, avant qu'Azmadan ne reprenne...

Que me veut Mère Avo ?

Notre Mère trouve en toi un grand potentiel, mais tu risques de très bientôt faire une erreur... Un erreur...monmumentale, même... Elle veut éviter cela...

Ah, je vois... Tu es venu me prévenir donc, merci...

Bien-entendu, Azmadan était alors surpris et inquiet aussi...

Oui... Enfin, en quelque sorte... Comme je t'ai dit, je suis une messagère... Vous devriez accepter d'apprendre la magie, vous savez, Azmadan ?

Après quelques secondes, Azmadan répondit...

Mère Avo sait vraiment tout, la preuve... Mais non, la magie ne m'intéresse pas : un art bien déshonorant, et dangereux...

C'est plutôt un honneur de savoir pratiquer la magie. Vous me parlez ici, Azmadan, mais vous n'êtes toujours pas prêt à communiquer avec vos alliés, vous n'êtes toujours pas prêt à communiquer avec le monde... Franchissez ce cap, Azmadan, et vous aurez un nouvel allié !

Un silence ensuivit ces mots, car Azmadan ne savait que répondre... Enfin, c'était peu précis...

Que...que voulez-vous dire ?

Vous le verrez par vous-même, Azmadan... Très bientôt... Très bientôt, la bataille commencera...

Vous savez tout ? Quand commencera-t-elle ?

Non, je ne sais pas tout, je sais très peu de choses... Je sais juste ce que je dois savoir... Je ne sais pas exactement... Demain, je crois... Azmadan, je dois vous laisser, n'oubliez pas ce que je vous ai dit !

La sublime créature commença à se dissoudre, jusqu'à complètement disparaître, bien qu'Azmadan voulut la retenir...

Seul dans sa chambre, il s'appuya sur les rebords de la fenêtre, cette fenêtre à laquelle la servante de Mère Avo regardait à son entrée...
Dehors, le ciel était noir, accompagné de nuages eux aussi noirs comme les ténèbres elles-mêmes... Désormais, il était certain que la guerre approchait ces contrées, et Azmadan savait que les Shoren, ou leur château, désignaient une cible pour leurs ennemis...

Wellby après avoir été invité à rejoindre la glorieuse citée de Shorel'aran Kaldorei, ne s'était pas fait prier et avait pris la route dès le soire même.Il redoutait un peu son arrivé car il se savait peut présentable...Sa petite taille et ses longues années d'errances ne l'avaient pas rendus très présentable.Et sa monture des plus anormale inspirait bien souvent plus la peur ou la crainte que le respect.Monté un loup n'était pas fréquent...même si ce loup avais un pelage d'un blanc pur.Mais il avai décelé une grande bontée et une forte tolérance en Tadgar.
Sur le chemin de la belle citée il avait été frappé par le changement du temps.Ces nuages noirs ne lui inspiraient pas confiance...Après deux jours de chevauchée (à défaut d'autres termes) le petit homme stoppa son loup sur les hauteurs du Mont Brumeux.Placé sur ce promontoir Wellby avait une vue plongeante sur la cité et le chateau qui la dominait de sa sublime splendeur.Cette vue inspirait un certain réconfort en son coeur...
Mais un grand éclair de lumière qui jaillit de la porte du chateau vint troubler cette image merveilleuse.Immédiatement un mauvais présentiment s'instaura dans l'esprit de l'halfelin...

Lorkas cours aussi vite que tu le peux je sens que notre aide pourrait être précieuse...

Immédiatement son loup lança un long hurlement et prit un départ des plus impressionant.Wellby attrapa son arc et le banda, la pointe de la flêche qu'il venait d'encocher s'enflamma.
Au bout d'une course folle mais relativement courte graçe à la céléritée de Lorkas, Wellby traversa le premier cercle d'enceinte du chateau.Il dut éviter bon nombre de sorts une fois arrivé dans le deuxième cercle d'enceinte, devant le seuil une boule de feu faillit le réduire en poussière et il ne dut son salut que grace à son fidèle canidé...
Il distingua alors deux combatants qui se battaient dans le hall d'entrée, une belle, jeune et apparement vaillante femme qui possédait manifestement des traits elfiques, quant à l'autre combattant il ne portait pas de traits définis, il paraissait enveloppé dans un voile noir et flou.Ses traits changeaient sans arrêt.Wellby ne réfléchit pas plus une belle jeune femme contre un inconnu indéfinissable...il décocha sa flèche...


[HRP]Bon c'est mon premier RP aussi, alors j'espere ne pas avoir été trop mauvais...Merci de pas faire attention aux fautes d'hortographes surement très nombreuses[HRP]

Arrivé depuis quelque mois comme simple chevalier de passage il était depuis devenus un des Paladins Shorel, il avait apris à connaitre ses recoins, coulirs, cachots, chevaliers, ...

Aprés avoir suivit le cours trés instruictifs de Penn dans la tour des Arcanes dont il venait juste de découvrir l'identité (quel secret pouvait bien encore lui révèler ce vieille batisse), il partit avec Tadgar et les autres chevaliers pour installer les pièges magiques qui nous protègerait sens doutes contre nos envahisseurs en vue de cette nouvelle bataille.

Ayant fini d'instaler les pièges il prit conger de Tadgar et alla en direction de sa chambre pour y pendre un repos de courte durée si cela était possible avant la bataille.

Marchant dans un des couloirs prés du grand hall d'entrée, il fut allèrter par de vive voix dans la direction du hall, il se mit donc à se dépècher pour s'y rendre et il y trouva alors Aebori se battant avec une autre personne dont il ne connaissait pas l'iden tité et qu'il lui semblait étranger au chateau, il apercut dans le coin de la pièce devant un magnifique tableau ,répresentant Mère Nature dans toute sa splendeur dans un décor magnifique, wellby armée de son arc s'apretant à tirer une flèche sur l'inconnu.

La flèche transperçat l'niconnue et se consuma sitôt être sortit de l'autre côté du corps, Mace Windou fut impressioner, cette créature était surement celle qui semait la panique dans tout le chateau.

Il s'élança donc contre cette chose, mais vut vite vut de la créature et d'un geste de main de celle-ci et quelque parole d'un dialecte obcure fut propulsé dans les airs pour retomber quelque mètres plus loin, contre la magie il ne pouvait rien faire, il partit donc quérir Penn, qui serait mieux défendre Aeborie que lui.

Par chance Penn, n'était pas loin,

Ouf, te voila, suit moi, dame Aebori est entrain de se faire attaquer par la chose dans le hall d'entrée.

Sur ces mots il partirent tout les deux aussi vite que possible en direction du hall ,...

Wellby décochat sa flêche en visant le coeur de la chose qui se tenais face à lui.Celle-ci s'élançat et traversa le corps de la créature de part en part.Immédiatement le petit être eut une idée, une créature sombre qui est intangible...Il en avais déjà rencontré une et il s'avait quoi faire.Il remis son arc en bandouillère et serras ses mains l'une contre l'autre dans une attitude de prière.Ses lèvres bougèrent mais aucun son audible n'en sortire.Et soudain de ses mains jointes surgirent des rayons de lumière blanche au début très faible mais de plus en plus fort, et lorsque l'halfelin sépara ses mains une boule de lumière si forte en jaillis que la jeune dame et l'immonde créature durent en détourner la tête.La sphère lumineuse s'élevas alors et se jettas sur la créature.Celle-ci lançat un cri terrifiant de douleur, et sembla se disloquer sous les slaves luminéscentes...
Lorsque la lumière disparut enfin la créature avait complétement disparue, et Wellby trempas ses mains dans une fontaine murale, celles-ci fumèrent un moment...L'halfelin se tourna vers la combattante qui se trouvais au sol et lui tendis la main...

"Bonjour belle dame je me présente,je me nomme Wellby.Un certain Tadgard m'as convié dans votre demeure...l'aceuille y est particulier ou est-ce une exception?" Dit l'halfelin à la combatante d'une voix rieuse.

Ils courutent donc en direction du combat à toute vitesse, traversant la cour ou se trouvait Penn, passant par le couloir menant vers le hall. Arrivé devant la scène il fut étonné, la chose avait disparut et wellby était en train de réconforter Aebori, tout deux n'avait pas l'air blessé.

Penn lui dit alors de le suivre pour aller trouver Tadgar afin de lui expliquer tous ceci. En chemin, Mace qui n'était là que depuis quelque mois ne connaissait pas grand chose de la vie de ses compagnons et qui était aussi trés curieux de découvrir tous les recoins et tout les secret que pouvait rèveler ce chateau comme la tour des Arcanes dont il ne connaisait guère l'existence,

Faut-il une guerre pour que tout les secrets du chateau soit dévoillé, ne pouvait t'on pas faire confiance au Chevalier afin de leur révèler ses secrets pour qu'il puissant mieux être protèger et pour défendre la cité. Si il avait appris l'existence de la magie il aurait surement put aidée Aebori à sans sortir sans rester les bras croisé, mais bon, pensa t-il dans sa tête avec une certaine colère

Alors il se mit à interroger Penn sur ses origines, où il avait acquis sont pouvoir et plusieurs autre question trés farfellus et sans douts trés intéressantes à savoir pour lui.

Le ciel qui était pendant un cours instant redevenu clait sombra de nouveau dans la noirceur, tel celle d'une âme de l'enfer, de triste et terrible évenement nous attendait.

Wellby avait suivi la belle Aebori à travers un long couloir richement décoré de tentures de facture impressionante, de plusieurs tableaux représentant pour la plupart des scênes de batailles épiques et de quelques statues. Ils arrivèrent devant une grande porte a double batants ouverte sur une salle qui manifestement servait de réféctoire. Aebori avait l'air plongé dans ses pensées et l'halfelin ne voulait point la troubler...Cependant lui même se sentait au plus mal, ce combat l'avait un peu affaibli, il y avait bien longtemps qu'il n'avait pas usé de magie...Son arc avait toujours fait sa préférence, quand à son épée...il s'asombrit l'espace d'un instant. Aebori stoppa net et le petit être faillit lui rentrer dedans:.

"Au fait, merci pour votre flèche, vous visez très bien messire."Dit-elle.

"Ho vous savez madame tirer sur un monstre de dos quelqu'il soit n'est pas chose glorieuse, je pressens que quelque chose vous tracasse et si je vous retiens n'hésiter pas a me laisser ici, j'ai grand faim et grand soif. Mon repas sera surement long..."

Wellby avait dit ceci d'une voix aussi douce que possible, il ne voulait pas vexer la noble dame. Il s'inclina et quitta cette, décidément, charmante elfe, de plus lui même avait à méditer de chose importante...Il aurait souhaité s'entretenir avec ce fameux Tadgar ou son accolite Penlossion. Il se dirigea vers une grande Cheminée, il s'assit sur un tabouret, sortit une pipe des plus singulière qui avait été taillée de façon à représenter une tête de dragon. Il l'alluma graçe à un brandon de braise. Il se plongea dans un profond état de réfléxion. Son malaise s'agrandissait en même temps que le fil de sa pensée.

Oui il faut que je m'entretienne avec Tadgar...de toute façon là ou je me trouve ne peut être qu'au meilleur endroit pour le rencontrer... je suppose que toute légende qu'il soit, il lui arrive de se nourrire.
Marmona-t-il.

[hrp]N'hésitez pas à corriger mes fautes quel qu'elles soient, il y en a surement...Aebori j'espere que je ne vais pas trop vite pour toi, et désolé de t'abandonner comme ça mais je penses que tu devrais vite trouver Tadgar...Voila n'hésitez pas à me donner vos avis ou à me poser des questions...[hrp]