Histoire de ...

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En ce joli mois de décembre, la neige avait déjà déposé son beau tapis blanc sur les paysages environnant le château de la Shorel’aran Kaldorei. Du haut d’une tourelle expressément aménagée pour les damoiselles résidentes au château, dame Aebori regardait par la fenêtre la beauté des contrées avoisinantes… bien qu’elle se gelait littéralement sur place. En effet, la cheminée de sa chambre venait à peine de rendre son dernier souffle qu’un courant d’air glacé passa sur le visage de la jouvencelle. D’un naturel très frileux, Aebori se décida à partir en quête de bois pour sa pauvre cheminée qui ne demandait que cela, bien qu’elle ne sache pas parler…

Aebori saisit donc une couverture pour se couvrir plus chaudement et un petite torche, préalablement allumée… car en cette nuit froide, il n’était pas bon de ne pas s’éclairer. Quand elle sortit de la pièce, Aebori ne voyait pas à plus de quelques mètres. Les couloirs étaient très sombres et elle n’était pas rassurée, que pourrait-il bien se passer dans cette pénombre ? Bien qu’elle sache que les membres du château devaient très certainement dormir, la jouvencelle entendait des petits bruits angoissants, crissements de porte, le vent qui souffle dans les couloirs, etc.

*Comment et où vais-je bien trouver du bois pour la cheminée ?*

Elle s’engouffra dans un passage menant aux escaliers. Dans la descente, elle vit une lumière… Mais qui pouvait donc être debout à cette heure tardive ? N’étant pas rassurée du tout, elle sortit une petite dague aiguisée de son fourreau et se prépara à se défendre au besoin. Quand soudain…

Pennlossion, à son habitude, s'était levé en pleine nuit pour aller rejoindre la salle commune, située au pied droit de l'escalier. Milles tourments assaillaient son esprit, et il ne savait trouver le repos en de telles circonstances...

Il avait allumé un feu dans la cheminé, aussi bien pour se protéger de la rûdesse de l'hiver que pour apaiser ses craintes. Nouillé dans sa solitude, des bruits de pas dans l'escalier le fit sortir de sa rêverie. Un doux visage s'évanouit pour en laisser apparaître un autre, moins fantasme et plus réel...

Aebori, dague en main arriva sur le palier, prête à la moindre contre-attaque. De toute évidence, son coeur devait battre la chamade et son esprit être emplit de craintes. Pennlossion l'interpella de sa place assise, à travers la porte grande ouverte!

Aebo, lâche cette arme voyons! Si l'un de nous était somnenbule, tu risquerais de lui faire mal!

Rassurée par la voix familière qu'elle venait d'entendre, Aebori rangea sa dague et avança d'un pas plus sûr. Quelle idiote d'avoir été effrayée par une lumière au bout d'un couloir. Et puis d'abord, elle se trouvait chez elle, donc il n'y avait vraiment aucun souci à se faire. Aebori entra donc dans la pièce et salua son ami.

"Bonsoir sir Pennlo... euh je veux dire Penn."

Elle lui sourit, se remémorant la scène où Pennlossion lui avait ordonné de ne pas user du protocole entre amis, lors de son arrivée au château.

"Dis moi, sais-tu où je pourrais prendre du bois ? Mon feu de cheminée vient de rendre l'âme et je n'ai aucun combustible pour le ranimer."

Pennlossion lui rendit son sourire...

Ha, les dames et leur aménagement accordant le confort d'une cheminée! Je viens de jeter les dernières bûches au fond de celui-ci, la tâche d'aller en couper du neuf n'ayant pas été accomplie par notre cher Néo...

Je comptais attendre demain pour aller en quérir auprés de Dame nature, mais vu que je suis levé, autant que cela serve...

Il se leva de son siège et prit la hache qui restait fièrement là ou autrefois, une pile de bois mort s'élevait et faisait file pour se faire dévorer par les brasiers de la vie.

En attendant que je revienne, prend place, elle est encore chaude! Si tu veux, j'ai réchauffé la marmitte du potage de la soirée...

Avant que Penn ne sorti de la salle, un bruit sourd se fit entendre, comme une porte qui claquait. Ensuite, les deux amis percurent des bruits de pas, de plus en plus sourd. Penn regarda Aebori en lui faisait un signe. Aebori compris tout de suite, et ressorti sa dague tandis que Penn s'etait dirigé dans le fond de la salle pour prendre ses deux epées courtes. Ainsi armé, ils etaient pret a accueillir ces étranges bruits de pas, ou plutot leur propriétaire. Quand l'individu entra, Penn et Aebo avaient eu le temps de se mettre en ambuscade. Penn lacha un coup puissant de haut en bas, afin d'arreter l'individu dans sa course mais fort heureusement le coup qu'il lacha fut bloqué par une lame. Cette lame n'etait autre que celle de Tadgar, reconnaissable entre mille, elle eclatait de lumiere et des runes elfiques, qui traduisaient un langage plus qu'ancien, courraient de la garde de l'épée a deux mains jusqu'a sa pointe assérée. Dans les combats en pleine air, c'était une des armes favorites de Tadgar.

" Heureusement que j'ai encore de bons reflexes... Que faites vous encore debout a cette heure ? Doral'ana'diel ? " dit il en devisageant Penn et Aebori

Cette esquive de Tadgar laissa filer un bruit strident qui résonna dans tout le chateau. Furlix, attentif comme toujours se réveilla et se demanda:

" Saperlipopette, qu'est-ce dont tout ce tintamarre? "

Prudent, il faillit sonner l'alerte par peur d'une attaque mais il décida d'abord de passer dans la chambre de Aebori (comme a son habitude).
Il entra et la........ personne. Inquiet, il retourna prendre sa hache favorite et decida de voler au secours de la demoiselle en détresse. Arrivé en bas, il entendit des voix provenant de la cuisine. Furlix sentit que son coeur battait de plus en plus fort. Il s'approchait silencieusement de la cuisine quand il sentit une délicieuse odeur de soupe qui s'en échappait ce qui le rassura un petit peu.
Il voulut ouvrir la porte d'un grand coup pour prendre par surprise ses adversaires mais il aperçut par la fente en bas de la porte une lumière d'un blanc éclatant. A cet instant, Furlix fut totalement rassuré car une lumière aussi pure ne pouvait provenir que de Tagdar ou de Penn.
Furlix entra donc a son tour dans la cuisine et dit:

(On est 4 si on se faisait une belotte?? lol non c est pas le rp ca)

"Pourquoi est-ce que personne ne dort dans ce chateau? Avez-vous donc tous oublié qu'une longue quête nous attend demain?"

(voila c etait mon premier rp dsl si c est de mauvaise qualité mais je voulais essayer)

[Fulix, va falloir que tu m'explique pourquoi tu passes par ma chambre avant de descendre, ]

Après avoir lancé une attaque déviée par Tadgar, Aebori fut projetée dans les airs à cause de l'impact. Mais elle tomba légèrement sur le sol grace à son agilité. La lumière de l'épée du maître des lieux l'avait éblouie quelques secondes mais elle découvrit bien vite qui était le mysthérieux individu dont les lourds pas sur le sol avaient perturbé Pennlossion et elle-même.

"Sire Tadgar, veuillez nous excuser pour cette ambuscade, on ne croyait pas vous voir venir de l'entrée si tard. Voilà, en fait je..."

Attiré par le long bruit assourdissant venant des cuisines, Furlix avait fait son entrée dans la pièce. Il demandait à voix haute pourquoi ils ne dormaient pas d'un air étonné de voir tant de monde encore debout à une heure tardive. Aebori le rassura en lui souriant, rien de grave, juste besoin d'un peu de bois pour la cheminée de sa chambre.

"Ne vous inquiétez pas, Penn m'a gentillement proposé d'aller m'en couper."

Sur ce Tadgar expliqua pourquoi il revenait si tard. Il raconta son histoire que le groupe ecouta attentivement. Tadgar commenca sur ces mots :

Il y a quelque jour, un sage ma contacter. Un groupe de mercenaire a été repéré non loin d'ici, tuant et brulant tout ce qu'ils trouvaient sur leur passage. Il me demandait de venir le rejoindre, afin de pouvoir le mettre lui et sa famille en sécurité, mais aussi et surtout ses inventions précieuses destinées a protéger et a vaincre les forces du mal. J'ai donc chevauché deux nuits et deux jours et je suis arrivé sur les lieu. Malheureusement, les brigands n'etaient pas loin. Avec une grande celerité, nous avons reussi a sauvé le sage et sa famille, mais les inventions sont tombées dans les mains des mercenaires. Néanmoins, le sage m'a affirmé que ce n'était pas si grave, si nous arrivons a detruire les machines que les brigands ont volé, pour le compte des chevaliers noirs nous supposons, et récuperer les plans de fabrication de celles ci, ils nous les recréera. Donc me voila, le sage est en sécurité dans une de nos cachettes ou il ne risque absolument rien.

Demain, nous convoquerons nos chevaliers, et ensemble nous décideront de que faire. Pour l'instant, retourner tous vous coucher, nos journées ainsi que nos prochaines nuits risquent d'etre longue mes amis.

Ainsi, Furlix et Aebori s'en allerent se recoucher, pendant que Pennlossion et Tadgar discutait de quelque dernier point.

Fichtre, l'ennemi avait parer son coup! Son Isenduil, simple épée faite de métal précieux et dépourvue de pouvoir magique, faillit éclater lors du l'entrechoque. Les pouvoirs elfiques qu'il avait appris permettait le miracle qui était de garder son arme en un unique morceau...

Je fais la même chose que chaque nuit Shan'do : je me ronge l'esprit en attendant de t'ascèner un coup d'épée.

Le sourire réillumina les visages, et bientôt Furlix se joint à la partie. Tous ensuite écoutèrent les paroles de Tadgar, laissant les réflexions envahirent les esprits. Avec la conclusion, veint la séparation et le devoir pour les guides de se concerter. Avant qu'Aebo ne franchisse le seuil de la porte, Pennlosison l'arrêta

Attends Aebo! Il me semble t'avoir promis du bois...

Il se dirigea vers la cheminée et invoqua une lumière bleu dans sa main. Sans précaution, il prit une bûche encore brûlante sans mimiquer à son contact. Il murmura quelques mots dont l'accent était semblable à celui de Tadgar. La Bûche s'étaignit et se recomposa, et aprés qu'il l'ai posé à terre, se divisa pour donner deux bûches, puis quatre et enfin huit. Dans son habitude d'enseignant, il lança en explication...

Un sort d'invocation mineure. Il vous faut un objet originel pour pouvoir le multiplier à volonté. L'inconvénient de ce sort, c'est qu'il est limité dans le temps. Ces bûches sont devant nous ce soir, elles ne seront plus demain!
Prends-les et dépêche-toi à t'en servir!

Il resalua les deux compères avant qu'ils ne quittent la pièce et ferma la porte derrière eux. Tadgar était assis et méditait, et il le rejoignit afin de parler stratégie et des projets de l'Ordre...

[HRP] Furlix, je dois t'avouer que pour une première fois, tu m'épates! Une pointe d'humour, une bonne description des lieux et de l'action, et puis des louanges de mon nom, tout pour faire un bon rp ^^! En tt cas, mes félicitations et continue comme ça !

Sinon pour la belotte, c'est quand tu veux. Ca manque justement de belotteur dans mon côté de Mons...[/HRP]

Après avoir salué ses deux amis, Furlix raccompagna Aebori dans ses appartements, lui souhaita de passer une bonne nuit car une rude journée les attendait tous.
Un long et lugubre couloir reliait les petites tours des demoiselles au reste du chateau. Furlix, en retournant dans sa chambre, entendit d'étranges chuchotements dans ce couloir. Cela ressemblait a une incantation ou a un rite mais prononcée dans une langue inconnue. Mais il n'arriva pas a savoir d'ou provenaient ces bruits. On aurait dit que le son était partout autour de lui.
Contrarié, il arriva enfin devant la porte de sa chambre et remarqua qu'il y avait encore de la lumière dans les appartements de son voisin.
Furlix rentra dans sa chambre, rangea sa hache et se dit qu'il raconterait a Tadgar ce qu'il avait entendu quelques minutes auparavant le lendemain car il estima que l'heure de se reposer était venue.

Poulainda, qui a le sommeil profond,se reveilla (enfin). Pas parce qu'il avait entendu du bruit mais tout simplement parce qu'il devait aller aux latrines pour un besoin urgent.
Il se trouvait dans sa chambre, assez grande mais peu décorée, couché sur un lit très commode et emplit de chaleur. Sa chambre se trouvait en face de celle de Furlix, compagnon avec qui il a passé une grande partie de son adolescence à apprendre à se battre et à se défendre.
Somnolant,il se décida enfin de sortir de son lit. Ne faisant pas très chaud il mit une epaisseur. En sortant de sa chambre, il entendit des espèces de chuchotements assez confus, mais n'y prêta pas grande imprtance vu qu'il était à moitié endormit et se disait que ça venait surement de son imagination.
De retour des latrines, il parcourait le couloir menant à sa chambre. Celui-ci paraissait beaucoup plus sombre que pour l'aller. Arrivé à 200m de sa chambre, il vit de la lumière provenant de la chambre du voisin de Furlix. Pas très normal mais rien de bizarre. Très curieux il s'approcha de celle-ci, un vent glacial le frissonna et ces espèces de chuchotement étaient de plus en plus prononcés. Pret à ouvrir la porte pour voir ce qu'il ci passait, celle-ci se referma dans un tel fracas que Furlix sortit de sa chambre pour voir ce qu'il se passait. Poulainda fut pris de panique et rentra en courant dans la chambre de Furlix.

Il se passe des choses bizarres ici

Furlix essayait de le resonner mais ça ne servit à rien. Pour finir Poulainda et Furlix dormirent dans le même lit.

(voilà c t mon 1er rp, j'essayerai de faire mieux la prochaine fois)

Aebori avait saisi la bûche que lui avait donné Pennlossion, puis elle le remercia et partit vers sa chambre en compagnie de Furlix. Avant de passer le pas de la porte menant aux escaliers, elle se retourna et lança à l'intention de Penn...

"Merci encore pour ton aide"

Sur ce, elle tourna les talons (en ayant souhaiter la bonne nuit aux deux maitres des lieux) vers la montée d'escaliers, Furlix la suivant de prés. Quand ils furent arrivés à la porte de la chambre de la jouvencelle, Aebori se tourna vers le chevalier et lui souhaita la bonne nuit avant de lui poser un bisou sur la joue, en guise de remerciement pour son escorte. Ensuite elle entra dans la pièce, en posant directement la bûche dans la cheminée. De suite, un feu jaillit dans l'antre et une grande chaleur envahit la petite chambre de la demoiselle.

"Aaah, quelle joie d'avoir chaud dans ce château."

Sur ce, elle mit une robe de chambre et se glissa sous ses couvertures avant de sombrer dans un demi-sommeil....
Au beau milieu de la nuit, elle fut réveillée par un étrange bruit venant du couloir. On aurait dit des chuchotements bizarres, prononcés dans une langue étrange qu'elle ne comprenait pas. Elle se décida à aller fermer sa porte à clé, ne sachant que penser de tout ceci.

*Je crois que je parlerais de ça à Tadgar demain...*

Sur ces mots, elle se recoucha et dormit jusqu'au matin...

Après sa rencontre avec Tadgar à l'auberge , Myrdhyn avait décidé de visiter le castel des Shorel'aran kadorei.

Le soleil se lève, Myrdhyn sonne du cor pour s'annoncer.

"oyez messires et gentes dames, je viens en paix pour vous renscontrer, point ne me laissez dans la froidure je vous en prie, abaissez le pont levis"

Après que Poulainda se soit endormi, Furlix se releva car son esprit etait trop encombré d'incertitudes et d'interrogations...
Furlix prit son courage a deux mains et décida d'aller voir dans la chambre de son voisin.
Mais au moment d entrer, il entendit le bruit d'un cor provenant de l'extérieur du chateau. L'aube et ses magnifiques rayons de soleil apparaissaient déja. La nuit était finie et Furlix n'avait toujours pas dormi.
Il décida d'aller voir d'ou provenait ce son de cor et aperçut un fier chevalier qui s'approchait du chateau.

" Et la-bas! Qui va la?
Quel est ton nom noble chevalier?
Viens tu en ennemi ou en ami? "

Après quelques explications de ce chevalier qui se nommait Myrhdyn, Furlix, méfiant décida de sortir Tadgar de son sommeil pour savoir s il avait été prévenu de la venue de ce chevalier.

Le Chevalier arriva au fait de la colline et de sa position pu admirer la resplendissante demeure de l'ordre des Shorel'aran Kaldorei qui si ses souvenirs etaient exact devait signifier à peu prèt "l'adieu des enfants des etoiles" en ancien language elfique.

Gauvain eporonna son fier destrier et suivi de son ecuyer, de ses pages et roncins chargés, descendit lentement la colline en direction du chateau abritant ses compagnons.

Arrivé aux douves il se fit annoncé par Aggravain son jeune frere et ecuyer.

[Aggravain]-Ohé du chateau le sire chevalier Gauvain du clan d'orcanie vous demande de bien vouloir le recevoir en votre castel, et de lui octroyer l'hospitalité.

Après quelques minutes d'attente le pont levis fût baissé et gauvain et sa suite penetrèrent dans la cour et se dirigerent vers les ecuries.

les betes mises au repos gauvain se dirigea vers le donjon au pied duquel plusieurs personnages aux habits finement ouvragés le regardait approcher.
de forte stature dans la trentaine aux yeux gris acier, portant une fine barbe et arborant les armes du clan d'orcanie une aigle bicephale d'or sur fond de pourpre.

-[Gauvain] Messires, et Damoiselles, je me presente à vous Gauvain d'orcanie fils du roi lot et de la reine margause des isles lointaines. J'ai entrepris un long voyage qui me vit traverser une grande partie de l'escosse et de la mer pour me joindre à vous, dans votre lutte contre ces brigands affublés d'armures noires et qui osent se dire chevaliers.
Et pour vous remercier de votre hospitalité veuillez accepter ces humbles presents qui seront du plus bel effet dans votre grande salle.

A ces paroles les pages s'avancerent et presenterent aux seigneurs ci presents plusieurs armures aux teintes sombres que le soleil au zenith ne parvenait pas à percer.

Ayant appris la nouvelle qu'un de ces compagnons d'arme, ainsi qu'un visiteur était arrivé, Tadgar s'empressa d'aller les saluer.

Bal'a dash chevalier Gauvain, et a vous aussi sir Myrhdyn. J'espère que votre voyage ne fut pas trop désagréable, surtout en les temps qui courent. De nouveaux éclaireurs m'ont rapporté il y a moins d'une heure que des brigands sillonnaient encore nos routes.

Vous me voyez bien désolé de vous accueillir en ces sombres moments... Je suppose que vous devez être fatigué et affamé. Je vais demander immédiatement que l'on vous prépare quelque chose à manger et que l'on vienne vous l'apporter dans vos appartements. Si vous voulez bien me suivre, je vais vous montrer où sont vos chambres.

Sur ce Tadgar et les deux chevaliers entrèrent dans le château. Dehors, le vent s'était soudain levé, mais point un vent habituel en cette saison. Tout en menant ses invités à leur quartier, Tadgar passa devant une fenêtre; et y jeta un rapide coup d'oeil, dehors le ciel s'était rapidement assombri. Il se dit en lui même qu'un grand froid comme il n'en avait plus connu depuis des temps s'annonçait, ce qui n'était à son avis pas un hasard, car le combat était proche.

Après avoir quitté Myrhdyn et Gauvain d'Orcanie, Tadgar se dirigea vers la chambre de Pennlossion, car il fallait qu'il discute tout deux, pour savoir comment annoncer les nouvelles de la guerre a leurs compagnons d arme et amis. L'aube s'était déjà levée depuis longtemps, la veille, Tadgar et Pennlossion avait décidé ensemble qu’ils annonceraient la fatidique nouvelle en soirée, dans la salle commune, autour du feu...

pendant que tadgar et pennlosion parlait lioneldenis servit le repas au chevalier gauvain et au chevalier myrhdyn...

( c'est mon premier rp c nul je c'es )

Repus, Myrhdyn reposait dans la grande salle du Donjon, l'accueil de Tadgar, avait été fraternnel.
"Volà de bons chevalier, pensait il, mes derniers combat ont été dur, et les prochains le seront plus encore, seul je ne pourrais point mener ma quete à bien. Voyons donc quel route nous pourrions faire ensemble"

Dans la chambre de la jouvencelle, le soleil venait à peine de poser ses rayons sur le visage encore endormit d'Aebori. Son sommeil avait été sans rêve et la chaleur du feu de cheminée avait été gardée jusqu'au matin. Un oeil s'ouvrit, puis le deuxième... Aebori s'étira comme un félin après une bonne sieste, en baillant comme tel. Ensuite, elle se leva. Les pieds nus au contact du sol la firent frissonner, mais elle ne s'en fit pas d'avantage. Elle ôta sa robe de nuit pour s'habiller de façon plus noble, qui sied mieux à une dame de la famille Cial Orchis. D'ailleurs, personne ne savait d'où elle venait, c'était comme un mysthère qui planait autour d'elle. Mais personne non plus ne le lui demandait... Tous se contentaient de lui faire confiance, et cela était mieux ainsi.
Après avoir fini de s'habiller et de se coiffer, Aebori ouvrit la porte de sa chambre pour ensuite la fermer à clé une fois dehors de la pièce. Soudain, les chuchotements de la veille lui revinrent en mémoire...

*Chuchotements, langue bizarre... Il faudrait que j'en parle à Pennlossion... ou encore à Sire Tadgar...*

Aebori tourna les talons, traversant le couloir en direction des escaliers. Elle les descendit et se retrouva dans la salle des banquets, où Myrhdyn et Gauvain mangeaient en compagnie de Lioneldenis. Voyant des têtes non connues, Aebori s'avança et s'inclina avant de dire...

"Bien le bonjour messires, je me présente dame Aebori Cial Orchis, mais appellez moi tout simplement Aebori. Je vous souhaite la bienvenue dans ce château."

Suite à cela, elle s'approcha de Lioneldenis et lui chuchota à l'oreille...

"Ne saurais-tu pas où se trouve les sires Tadgar et Pennlossion ? Je dois leur parler de quelque chose qui eut lieu la nuit précédente..."

Myrhdyn ne pouvait rester sans réaction devant l'air inquiet de la dame.
"Damat, Gente dame Aebori, je te vois préoccupé, puis je t'apporter aide ou conseil, "

Aebori repondit courtoisement qu'elle voulait faire part a messire Tadgar de menu détail qui ne méritait pas l'attention de chevalier de passage

"Fort bien, ma dame, mais si par la suite, ces menus détails devenaient préoccupant, sachez que ce castel peut compter sur mon bras"

Et Myrhdyn s'adressa a lioneldenis

"Messire, me voici maintenant bien nourri et je t'en remerci, peux tu me dire ou je pourrais prendre un bain, trois semaines de chevauchée m'ont rendus peu présentable"

Après avoir prévenu sir Tadgar, Furlix retourna dans sa chambre et y trouva encore Poulainda endormi.

"Mais que vais je bien pouvoir faire de lui? Après tout ce brouhaha, il ne s'est toujours pas éveillé"

Furlix déroula une carpette et se coucha dessus car poulainda prenait toute la place de son lit. Furlix se coucha mais soudain il sursauta.

"Quel imbécile fais-je? J'étais en présence de sir Tadgar et j ai complètement oublié de lui faire part des étranges chuchotements de cete nuit"

Furlix se releva, vit que poulainda était maintenant réveillé a cause de lui et partit à la recherche de Tadgar.

Quel insolent, je dormais si bien.

Sur ces dires, Poulainda se recoucha.

Myrhdyn était maintenant dans le cuveau, un des jeunes serviteur du castel l'avait rempli d'eau chaude et lui avait laissé savon et drap blanc pour s'essuyer

"Par ma foye, il se passe ici choses bien bizarre, j'ai ouie les servantes raconter des histoires de bruit la nuit, et ces nueés noires que l'on voient aux alentours ne me disent rien qui vaille" pensait il

Myrdhyn est breton, il a les qualité de son peuple, bon guerrier, courageux et loyal. Mais il en a aussi les défauts : légérement suceptible, un peu tétu, et homme d'action plus que de reflexion (du genre je tire mon épée, je tranche la tête de mon adversaire, et après je lui demande ce qu'il voulait). Il décide donc d'aller se reposer, pour pouvoir faire quelques rondes la nuit prochaine, et essayer de découvrir ce qui se passe.

Tadgar etait soucieux. Plusieurs des sien étaient venus lui parler de bruits étranges. Il décida d'aller se recueillir un instant et de demander à Avo quelques conseils. Il se dirigea donc vers son lieu de recrutement, une porte en donnait directement acces depuis sa chambre. Seul quelque grand fidèle et chevalier aguéri y avait le droit de prier. Tout en allant vers sa chambre, il croisa et salua dignement le chevalier Myrhdyn.

Ande'thoras-ethil. Et prenez un bon repos lui dit Tadgar.

Arrivé dans sa chambre, il la traversa, pour passer une grosse porte en bois massif et orner de lamelle en fonte. Derriere cette porte se trouvait un petit lieu de prière. Quelque petits coussins pour poser ses genoux se trouvaient a terre, au dessus, le plafond était recouvert de peinture, et les mures de tapisserie racontant les exploits de la mère Avo. Tadgar posa ses genoux sur un coussin, le plus proche de la sculture d'Avo, ferma ses yeux et rentra en méditation. Quelques heures après, il se releva.

Consulter les livres de la bibliotheque, oui bien sur, pourquoi n'y ai je pas penser plutot.

Il se rappella ensuite qu'il avait donné les clés des livres sacrés a Pennlossion, il fallait a présent qu'il les recupère. Tadgar sorti de sa chambre, et alla vers celle de Penn. Il n'y trouva personne

Ou peut il bien etre??

Azmadan était inquiet. S'il était bien possible que ces murmures aux paroles d'une langue qui lui étaient inconnue et qui l'avaient fait sortir de son sommeil n'étaient en fait que des chants connus d'un de ces résidents du château (après tout, il existe de nombreux dialèctes, il en connait bien peu), il savait ce que signifiait un ciel aussi sombre qui était l'un des plus mauvais présage...
Cela annonçait une remontée en puissance du chaos, du mal, et donc par conséquent, annonçait une rude bataille opposant une fois de plus le bien et son éternel ennemi : une bataille à laquelle Azmadan devra prendre part, et à laquelle il utilisera toute sa puissance, coûte à y laisser la peau, s'il le doit...

Azmadan... Qui pouvait prétendre connaître Azmadan ?
Une seule personne à vrai dire : Tadgar. Il fut son maître et est même plus, mais ne peut empêcher le jeune homme à se plonger dans une solitude exagérée. C'est celui-ci qui l'a fait entrer chez les Shoren'aran kaldorei et il est toujours là pour défendre Azmadan.
Azmadan ne parle jamais, et lorsqu'un membre pensa un jour à voix haute s'il était muet, le plus puissant des Shoren répliqua :

Non, il n'est point muet, croyez-moi... Il a pourtant beaucoup de choses à dire, mais il ne parle pas, c'est son choix... A vrai dire, le temps le changera, j'en suis certain, un jour il reparlera comme autrefois...

Il avait semblé nostagique après ces dires, mais si personne ne pouvait tirer d'informations sur l'identité d'Azmadan par l'intéressé lui-même, ils n'en obtiendraient pas plus de celui dit "La Main d'Avo"...

Il résidait la chambre la plus externe du château, celle qui était tout au fond du couloir, loin des chambres des autres résidents... Cela accroyait encore sa distance vis-à-vis des autres. Pourtant il entendit tout de même les murmures d'une langue étrangère...
Il était habillé d'une chevelure blonde presque dorée et de yeux d'un bleu profond, d'un bleu d'océan... Il 'était beau, avait une faible pilosité, une vingtaine d'années... Son visage aurait pu être l'image type de ce que la plupart des gens se créent de celui d'un ange s'il n'y avait pas cette affreuse cicatrice qui recouvrait une bonne partie de sa joue droite... Là encore, nul ne savait, si ce n'est Tadgar qui pouvait tout du moins très fortement le deviner, ce qui avait bien pu se dérouler pour laisser sur le minois du garçon cette trace ineffaçable...
Certaines personnes s'étaient amusées au début à lancer des rumeurs sur le jeune homme, mais fort vite on ne se souçia plus du garçon : "S'il veut être seul, qu'il le soit..."
Chacun savait cependant une chose sur Azmadan : il était un bon combattant, avec une bonne partie des qualités à avoir sur le champ de bataille, digne élève de Tadgar...

De nouveaux résidents vivaient désormais au château : Azmadan avait entendu le cor annonçant l'arrivée d'un noble. En ces temps troublés, toute aide était la bienvenue...

Il était d'abord assis sur son lit, pensif. Après quelques minutes il décida de se coucher, se préparant mentalement à la bataille qui allait bientôt se dérouler...

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